Une intro plus 5 parties, 23 chapitres, pas loin de 500 éléments dans la table détaillée
Pour définir la structure de mon livre, j’ai utilisé MindNode, un outil de mindmapping élégant et pratique. Il m’a permis de réfléchir, d’essayer des déplacements de chapitres, d’harmoniser les noms des paragraphes, et aussi de générer la table détaillée ci-dessous.
Tout le travail de l'équipe va dans le backlog (car il s'agit d'un backlog d'équipe) et tout travail est story.
Une story est un élément du backlog, morceau de fonctionnalité qui apporte de la valeur à quelqu’un. Avec cette définition, tout est story dans le backlog. À côté des stories qui apportent de la valeur aux utilisateurs (user story), cela conduit à avoir des stories pour apprendre et des stories d’investissement.
Le tome 7 de cet ouvrage collectif vient de sortir. Inspiré par Bruno Latour, il parle de l'atterrissage post-pandémie.
Pour ce tome 7 de Rupture douce, Laurent Sarrazin a invité les auteur·es à raconter leur rétro-confinement.
Voici la préface que j’ai écrite pour ce beau livre collectif.
Son but est d’expliquer ce truc — la rétro-confinement — lancé par l’agilité radicale il y a maintenant presqu’un an. Et de donner envie de lire les belles histoires du livre.
Parfois tristes, souvent émouvantes, toujours sincères.
Agile Manifesto est un texte de référence. Le traduire est un exercice auquel je me suis adonné plusieurs fois. Retour sur des nuances qui dévoilent une évolution de ma perception et du contexte.
Agile tour Bordeaux a organisé, lors de sa deuxième journée, le 5 novembre, une table ronde sur les 20 ans du Manifeste agile. La discussion a commencé par un retour sur la traduction en français de 2010, à laquelle j’avais participé. Mais j’avais déjà traduit le Manifeste avant et j’ai continué après. Cela me donne l’occasion de revenir sur mes différentes traductions, provoquées le plus souvent par une nouvelle édition ou un nouveau livre.
La saison 1 de Rupture douce a été publiée début novembre. J’en avais parlé : des histoires connectées.
J’ai été particulièrement fier de contribuer à cet ouvrage collectif. J’y avais été convié par Laurent, suite à ma participation à son atelier du ScrumDay et l’article que j’avais écrit un peu après : Quand l’Agilité rencontre la sociocratie.