Gestes-barrières, valeur sociale, quelques idées pour bifurquer vers l'agilité radicale
J’ai eu le plaisir de participer à Agile en ligne jeudi dernier. Et cerise sur le gâteau j’ai vécu une belle aventure collective avec Anthony et Jean-Pascal pour préparer et donner la keynote de clôture de ce bel événement. Voici son titre :
Le confinement, une opportunité pour bifurquer vers l’agilité radicale.
Pour le klub de lecture de ce soir, j’ai lu L’entreprise altruiste d’Isaac Getz et Laurent Marbacher, et ce duo soviétique y est présent, dans le chapitre six qui s’intitule : Faire confiance en excluant le contrôle
Pas besoin de demander aux décisionnaires, c'est l'équipe qui décide
Le 23e commentaire laissé pour mon livre Scrum sur Amazon m’a interpellé.
Il commence bien pourtant :
Je trouve que c’est un très bon livre pour comprendre Scrum.
Merci. Mais voyons la suite…
Le confinement, une opportunité pour bifurquer vers une agilité radicale
Je vais être co-présentateur de la keynote de clôture de la conférence Agile en ligne le 30 avril.
Cette présentation collective a émergé grâce au confinement, comme la conférence d’ailleurs. Il y a un mois on n’imaginait ni l’une ni l’autre.
Pour notre exemple PermaBio, dans ce premier article consacré à la boucle de feedback (le chapitre 3 de L’art de devenir une équipe agile), nous allons nous intéresser à l’élaboration du backlog initial.
Il contient des gros morceaux qui seront ensuite affinés.
Les créateurs de Scrum pensaient bien faire en utilisant sprint
Dans L’art de devenir une équipe agile on trouve ce dessin. Il illustre ce que ne devrait pas être un sprint pour une équipe agile.
Pour expliquer comment on peut continuer à dire sprint tout en oubliant l’idée de vitesse qui y est attachée, j’ai utilisé un terme dont je viens de découvrir qu’il est une insulte du Capitaine Haddock. Il figure dans Le petit Haddock illustré d’Albert Algoud.
Non, ce n’est pas bachi-bouzouk. Ni ectoplasme. Ni apache. Ni vampire.
On retrouve tout au long du livre L’art de devenir une équipe agile ces cinq parties prenantes dessinées par Étienne.
Le chapitre 2 a pour titre L’équipe dans son écosystème. L’écosystème d’une équipe, c’est le milieu dans lequel elle évolue. Il est composé d’objets et de personnes. Les personnes, ce sont les parties prenantes.
La première version de la rétro-confinement a suscité de l’intérêt.
Dix jours plus tard, voici la deuxième version qui prend en compte le feedback reçu et notre propre expérimentation, avec Jean-Pascal et Anthony, mes camarades du klub de lecture.
Nous croyons beaucoup au potentiel de cette rétro pour préparer un post-confinement en adéquation avec nos valeurs. Nous pensons que cette réflexion –en ce moment si particulier– peut éviter à des équipes qui étaient dans le faux agile d’y retourner.
Faites connaissance avec les membres de l'équipe et apprenez à les reconnaitre ; vous les retrouverez tout au long de l'histoire
PermaBio est l’exemple qui sert de fil rouge dans L’art de devenir une équipe agile. Dans le premier chapitre, nous avions fait connaissance avec Pierre, le fondateur, qui nous avait donné sa vision, décrit le service et expliqué pourquoi l’agilité lui semblait la bonne approche.
Nous allons maintenant faire connaissance avec l’équipe.
Préambule : j’ai beau actuellement me sentir moins libre, avoir dû reporter formations et voyages à des moments plus propices, je suis confiné dans de bonnes conditions et je soutiens celles et ceux qui souffrent.
Au cours de mes causettes agiles, quelques personnes me connaissant bien m’ont demandé si le canal du Midi ne me manquait pas trop.
Ma réponse a évolué en même temps que le confinement s’est durci.