Dès 2006, j’avais choisi de ne pas traduire release pour l’utilisation dans plan de release, comme on peut le lire dans ce billet Sprints, releases et produit ou celui-ci Release et moi.
Pour éviter la confusion possible, que j’évoquais déjà, entre ce qui est produit et la période de temps nécessaire pour le produire, j’emploie version pour le premier sens.
Dans le glossaire que j’ajoute à l’édition quatre, voilà l’entrée pour release :
Douze cases pour placer chaque élément de la définition de fini
La définition de fini est le plus souvent une simple liste. Pour être plus pertinent, on peut définir plusieurs niveaux de fini, et pour être plus complet, plusieurs aspects de la finition.
Cette semaine, j’ai eu deux interpellations à propos de mon rapport avec les outils Scrum.
Dans la première, un participant à un story mapping qui me demandait quel outil utiliser pour garder la trace des stories a trouvé “rétrograde” pour notre époque ma réponse “on n’en a pas besoin'.
Le livre de Jeff Patton a été traduit pour une publication chez Dunod
En français, le titre est simplement “Le story mapping”.
J’ai participé à la relecture du texte traduit et j’ai eu le plaisir d’écrire la préface pour l’édition française.
Voici la première partie.
Le story mapping apporte la carte et revisite la notion de story, centrale dans le développement agile
Le story mapping, le livre de Jeff Patton a été traduit et sera bientôt publié chez Dunod. Il apparaît déjà dans la page 3 de la 4e édition de mon livre (on y voit aussi Kanban pour l’IT de Laurent Morisseau).
Un dessin de Patrice Courtiade, parmi les nombreux nouveaux qu’il m’a faits pour l’édition 4.
J’ai placé une alerte google sur le mot scrum. D’habitude je n’y trouve que des références à des articles sur Scrum la méthodologie, et surtout des offres d’emploi. En ce moment 99% des entrées concernent le rugby.
Du Pablo en très grande forme pour la préface de mon livre
Cela commença avec Thierry Cros qui me demanda d’écrire la préface de son livre « Spécifiez Agile ». Ce que je fis avec plaisir.
Ensuite, ce fut Laurent Morisseau, pour l’édition 2 de son « Kanban pour l’IT », qui me sollicita pour sa préface. Celle de la première édition était l’œuvre de David Anderson, le « père » du Kanban, je n’allais pas refuser une suite pareille.
Cette année, c’est mon éditeur de chez Dunod qui m’a demandé de rédiger la préface de la version française du livre de Jeff Patton « Le story mapping ». Dans la version originale, il y avait 3 préfaciers : Marty Cagan, Martin Fowler, and Alan Cooper. Rien que ça.
J’ai passé une bonne partie des ces dernières années à réfléchir à l’utilisation de Scrum sur des gros projets et à mettre en place ce passage à grande échelle pour des organisations.
Le story mapping, l’excellent livre de Jeff Patton a été traduit et sera publié chez Dunod le 4 novembre.
Voici la troisième partie de ma préface de cette édition française.
La stabilité d’une équipe permet de laisser du temps aux gens pour se connaître, pour apprendre à mieux travailler ensemble en partageant ses connaissances
Une équipe en recherche de stabilité, dessin de Patrice Courtiade pour le livre Scrum
L’agilité accueille favorablement le changement. Les clients peuvent changer d’avis et la technologie évoluer.
Mais l’équipe, elle ne doit pas changer aussi souvent, pour être capable de prendre cela en compte. C’est grâce à sa stabilité qu’une équipe peut s’adapter à la situation et traiter les changements.
Appliqué sur Scrum, Kanban permet d'éviter les débordements pendant un sprint
Après avoir passé la journée du lundi avec mes camarades de la Fédération Agile pour notre conversation semestrielle, je participerai le mardi 3 novembre à Lean Kanban France.
Un grand merci à tous ces relecteurs dont 4 exceptionnels
Pour mes éditions précédentes, je m’étais appuyé sur des relecteurs nombreux et compétents qui ont été pour beaucoup dans la qualité du résultat.
Pour la quatrième édition publiée il y a un mois, j’ai aussi fait appel à des relecteurs qui m’ont bien aidé. À certains, je leur ai envoyé un chapitre dès que j’estimais que c’était possible (nous avons utilisé le concept de CMR, chapitre minimal relisible). À d’autres, c’était un peu plus tard dans l’avancement du chapitre.
Suite à ma présentation à Lean Kanban France, j’ai reçu un message de Sophie. Elle accompagne une équipe confrontée à des difficultés avec Scrum qu’elle a aiguillée vers Kanban.
Son expérience est intéressante et elle la raconte bien, alors nous avons décidé de la publier.
Il s’agit donc d’un billet invité, autrement dit de guest blogging.
Scrum se diffuse inexorablement dans le domaine industriel, sur des programmes ou produits impliquant plusieurs équipes. Il m’arrive de plus en plus souvent d’être appelé pour du scaling Scrum. J’interviens actuellement pour accompagner des programmes spatiaux d’envergure qui ont fait le choix du développement agile.
Dans la nouvelle édition de mon livre, j’ai ajouté un glossaire qui n’existait pas dans les éditions précédentes. Je l’ai voulu assez court (il y a 70 entrées) et avec des définitions brèves.
La formation à l’Agilité dont vous rêvez, une formation -out of the box- qui vous fera couper le cordon et sortir du ronron, qui vous donnera confiance dans vos capacités à transformer votre organisation, qui déclenchera en vous de nouvelles idées à essayer tout de suite, c’est …
Il y a des coachs agiles qui sont à plein temps chez leur client. Parfois même, ce sont des armées de coachs à plein temps qui restent pendant une longue période au sein d’une organisation.
Je suppose que c’est pour des transformations agiles aussi massives que délicates.
Ce n’est pas la forme d’accompagnement que je pratique. En général, j’accompagne mes clients de façon discontinue et sur une période limitée.